Reproductive Justice New Brunswick (RJNB) is a collective of individuals from across New Brunswick dedicated to ensuring publicly funded and self-referred abortion is available in the province. We demand the repeal of NB Regulation 84-20, Schedule 2 (a.1) of the Medical Services Payment Act which requires two doctors to sign off that the procedure is “medically required” and that it must be performed in a hospital by an OBGYN. As a result, the people of New Brunswick have unequal access to abortion services as compared to the rest of Canada.
The Morgentaler Clinic in Fredericton, New Brunswick’s only public reproductive health clinic closed on July 18th 2014, resulting from this restrictive provincial legislation. As a result, New Brunswick is in a crisis situation.
The current provincial government, as well as the official opposition, refuse to take action. The current barriers to abortion set in place by the Government of New Brunswick are not only unconstitutional, they are dangerous; when abortion is restricted or difficult to access, health and well being declines.
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Justice reproductive Nouveau-Brunswick (JRNB) est un collectif de personnes du Nouveau-Brunswick œuvrant pour le financement public des services d’avortement et pour un accès aux services sans référence partout à travers la province.
Nous réclamons l’abrogation du règlement NB 84-20, annexe 2 (a.1) de la Loi sur le paiement des services médicaux du Nouveau-Brunswick. Ce règlement exige que deux médecins certifient par écrit que l’intervention est « médicalement nécessaire » et qu’elle doit être effectuée dans un hôpital par un spécialiste en obstétrique ou en gynécologie. Conséquemment, les personnes du Nouveau-Brunswick ont un accès inégal aux services d’avortement comparativement aux autres provinces canadiennes.
La Clinique Morgentaler de Fredericton, la seule clinique privée de santé reproductive, prévoit fermer ses portes le 18 juillet 2014 en raison de cette législation provinciale contraignante. Résultat : le Nouveau-Brunswick est en situation de crise. Le gouvernement provincial actuel, ainsi que l’opposition officielle, refusent d’agir.
Les obstacles à l’avortement mis en place par le gouvernement du Nouveau-Brunswick ne sont pas seulement inconstitutionnels, ils sont dangereux : lorsque l’accès à l’avortement est limité ou difficile, la santé et le bien-être sont en déclin.